Cattocomunisti! JE 29-30 avril 2025 Institut catholique de Paris
*« Cattocomunisti ! » Histoire d’un anathème / “Cattocomunisti!” Storia di un anatemaJournée d’étude – Institut catholique de Paris * *29 – 30 avril 2025*
*Organisation :* Virgile Cirefice, MCF à l’Université de Limoges, virgile.cirefice@unilim.fr Grégoire Le Quang, MCF à l’Institut catholique de Paris, glequang@gmail.com <g.lequang@icp.fr> Marie Lucas, membre de l’École française de Rome, marie.lucas@efrome.it
*Lieu : *Institut catholique de Paris, salle C10 et en visio (Teams) *Inscription nécessaire pour assister ou obtenir le lien visio : * glequang@gmail.com
*Programme : * *29 avril* 14h : introduction 14h15 – table-ronde 1, présidence : Carlo Felice Casula Francesco Mores – Italia anno zero. Don Giuseppe De Luca e il comunismo Gerd-Rainer Horn – Un pont entre le marxisme et christianisme. Les réalisations des catholiques communistes, en Italie dans les années 1937-45.
16h – table-ronde 2, présidence : Michael Löwy Claudia Baldoli – « Con Roma e con Mosca » : Guido Miglioli nel secondo dopoguerra Laura Pettinaroli – Le « philocommuniste » abbé Boulier (années 1940- 1950) Marie Lucas – Marxiste et thomiste : les « étranges prétentions » de *Cultura e realtà*
*30 avril* 9h00 – table-ronde 3, présidence : Laura Pettinaroli Virgile Cirefice – Socialistes et catholiques? La base du PSI et la question religieuse Fabien Archambault – Enquêtes sur la foi des communistes catholiques
10h30 – table-ronde 4, présidence : Fabien Archambault Carlo Felice Casula – I Cattolici comunisti italiani e Franco Rodano Frédéric Attal – Claudio Napoleoni et Franco Rodano Giambattista Scirè – Mario Gozzini e Raniero La Valle dalle avanguardie cristiane al Pci: due diversi percorsi di indipendenti di sinistra
*Journée soutenue par :* L’Institut catholique de Paris L’École française de Rome L’Université de Limoges – Laboratoire CRIHAM UR15507 La Société française d’histoire politiques (SFHP)
*Résumé* : Le terme « cattocommunista » a longtemps été un anathème jeté à la face de celles et ceux qui cherchaient à construire des ponts, politiques et idéologiques, au-dessus des deux blocs séparés par la compétition électorale, l’esprit de Guerre froide et la solide tradition d’excommunications réciproques. Pourtant, bravant les condamnations, des intellectuels, des petites forces politiques permettent de faire exister des courants dissidents et féconds. Au-delà, parmi les militants et les croyants, les jonctions peuvent aussi se réaliser, des années 1930 aux « années 68 ».
*Journée soutenue par* : Institut catholique de Paris L’École française de Rome L’Université de Limoges – Laboratoire CRIHAM UR15507 La Société française d’histoire politiques (SFHP)