Parution – Un antifascisme de combat. Armer l’Espagne révolutionnaire (1936-1939)
Chères et chers collègues,
J’ai le très grand plaisir de vous annoncer la publication de mon ouvrage /Un antifascisme de combat. Armer l’Espagne révolutionnaire (1936-1939)/,//aux éditions du Détour.
Une présentation est prévue à Paris le vendredi 17 mai à la librairie Le Monte-en-l’air (2 rue de la Mare), normalement à 19h. D’autres présentations auront aussi lieu à Toulouse et Bordeaux.
En plus du résumé ci-dessous, vous pouvez consulter un extrait ainsi que la table des matières sur le site de l’éditeur : editionsdudetour.com/index.php/les-livres/un-antifascisme-de-combat/
Veuillez m’excuser par avance pour les éventuels doublons.
Très cordialement,
Pierre Salmon
*Présentation : *
Le coup d’État militaire de juillet 1936, qui débouche sur une longue guerre civile, engendre aussi une révolution sociale dans une grande partie de la zone républicaine.
Les républicains comme les révolutionnaires cherchent des armes. La République structure un marché qui mélange les circuits légaux et illégaux. La plus grande partie du matériel provient d’URSS, même si d’autres voies sont par ailleurs explorées.
Certaines forces révolutionnaires choisissent les chemins de l’illégalité. Dans ce cadre, anarchistes, trotskistes, socialistes ou communistes, en France et ailleurs, décident d’apporter leur soutien aux camarades qui, venus d’Espagne, avec des mandats incertains, cherchent des armes pour que survive leur révolution.
Dépourvus d’expérience, ces derniers doivent alors s’en remettre à des groupes criminels très éloignés de leurs horizons militants. Décrire cette alliance interlope suppose de faire dialoguer Espagne et France, mais aussi militants, criminels et structures institutionnelles ou partisanes.
Cet ouvrage propose une relecture de l’engagement antifasciste au prisme de l’histoire transnationale. Véritable phénomène de transgressions frontalières, cette contrebande subit en France une forte répression : le nom de la loi n’est pas celui de la révolution.
— Pierre Salmon
Maître de Conférences en histoire contemporaine École normale supérieure – IHMC (UMR 8066) 45 rue d’Ulm 75005 Paris ens.academia.edu/PierreSalmon
J’ai le très grand plaisir de vous annoncer la publication de mon ouvrage /Un antifascisme de combat. Armer l’Espagne révolutionnaire (1936-1939)/,//aux éditions du Détour.
Une présentation est prévue à Paris le vendredi 17 mai à la librairie Le Monte-en-l’air (2 rue de la Mare), normalement à 19h. D’autres présentations auront aussi lieu à Toulouse et Bordeaux.
En plus du résumé ci-dessous, vous pouvez consulter un extrait ainsi que la table des matières sur le site de l’éditeur : editionsdudetour.com/index.php/les-livres/un-antifascisme-de-combat/
Veuillez m’excuser par avance pour les éventuels doublons.
Très cordialement,
Pierre Salmon
*Présentation : *
Le coup d’État militaire de juillet 1936, qui débouche sur une longue guerre civile, engendre aussi une révolution sociale dans une grande partie de la zone républicaine.
Les républicains comme les révolutionnaires cherchent des armes. La République structure un marché qui mélange les circuits légaux et illégaux. La plus grande partie du matériel provient d’URSS, même si d’autres voies sont par ailleurs explorées.
Certaines forces révolutionnaires choisissent les chemins de l’illégalité. Dans ce cadre, anarchistes, trotskistes, socialistes ou communistes, en France et ailleurs, décident d’apporter leur soutien aux camarades qui, venus d’Espagne, avec des mandats incertains, cherchent des armes pour que survive leur révolution.
Dépourvus d’expérience, ces derniers doivent alors s’en remettre à des groupes criminels très éloignés de leurs horizons militants. Décrire cette alliance interlope suppose de faire dialoguer Espagne et France, mais aussi militants, criminels et structures institutionnelles ou partisanes.
Cet ouvrage propose une relecture de l’engagement antifasciste au prisme de l’histoire transnationale. Véritable phénomène de transgressions frontalières, cette contrebande subit en France une forte répression : le nom de la loi n’est pas celui de la révolution.
— Pierre Salmon
Maître de Conférences en histoire contemporaine École normale supérieure – IHMC (UMR 8066) 45 rue d’Ulm 75005 Paris ens.academia.edu/PierreSalmon